Il y a quelques mois, j’évoquais le fait de « sortir de ma zone de confort » (ou pas) dans un post. D’aucuns m’ont demandé alors si il allait être possible de découvrir le résultat de cette incartade…
Je suis fière de pouvoir partager aujourd’hui une partie de ce reportage au travers la publication de Karine. Grâce à la confiance qu’elle et ses équipes ont choisi de m’accorder, j’ai pu divaguer seule sur la très vaste étendue du CCG, allant à la rencontre des uns et des autres. J’ai pu leur demander -très naïvement parfois- de m’expliquer en quoi consistait leur métier, ce qui les avait menés « là » sur ce site industriel, le pourquoi de leur spécialité. Souvent surpris autant par ma méconnaissance profonde de leur univers, que par mon intérêt pour « eux » en tant que personnes, en tant qu’indispensables rouages humains d’une gigantesque machine, j’ai été accueillie partout avec une immense bienveillance.
J’ai appris plein de trucs (la TAC, la TAV, les acronymes mili n’ont qu’à bien se tenir !) découvert des choses que je ne soupçonnais pas (les régimes de consignation), mais surtout : j’ai rempli mes yeux et mes cartes mémoire des visages et des gestes de ces gens qui font l’âme du Ponteau, peut-être plus encore que les emblématiques cheminées !
Alors #Merci pour ça.
Un grand merci aussi à Yvonne, qui s’est risquée à me confier une idée puis la mission et à Gaël (qui a réussi à rendre accessibles et intéressantes les formations règlementaires absolument indispensables à ce reportage… #CetaitPasGagné)
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